Samedi 29 septembre 2007 à 0:18

 
rien .








et tellement rien .


Les jours passent et ne se ressemblent pas. J'écris beaucoup trop il parait, certains aiment lire, d'autres ne font que survoler. Il faut quand même être bien présomptueux pour mettre tout ces verbes au pluriel, quand on ne sait pas combien de gens passent ici. J'ai l'impression que mes articles font peur aux gens, ils ne mettent plus de commentaires.
« jOr'z jt'ador'z lach'z des comm'z »


Basé sous le signe de la musique, la vie avance, lentement ou plus rapidement, des fois s'arrêtant. Tu marches tu marches, parfois tu cours.


Xibalba
 

Je ne suis pas une personne qui aime les images ou les couleurs.
Je ne suis qu'une personne qui aime le mode repeat one, qui ne peux se lasser d'une chanson.

J'aime ce dédoubleur qui isole en invitant les autres. Il faut du calme dans nos vies, et pourtant il faut faire bouger les choses, sinon on se dit que « mine de rien » on est resté trop longtemps à la même place.

where ? where ? where ? where ? where ? where ? where ? Quelle est ma place ?

_______________________________________________________________________________________


Death is a Disease - The Fountain
« Une image sortie un peu de nul part, qui pour ces quelques lignes m'accompagnera. Je dois dire quoi ? le temps fais les choses à sa manière, le français ne mérite pas d'être corriger mainte et mainte fois, les cours ne sont que le reflet d'une connaissance, la musique est le décor de notre illusion réelle, les sentiments ne sont que un jeu auquel il n'y a jamais de gagnant, l'écriture et la lecture ne sont qu'un passe temps que les gens surchargés aiment pratiquer, la beauté n'est pas éphémère dans l'éternité. »

Parler pour ne rien dire ? rien dire pour éviter de parler trop.

Je ne veux pas m'expliquer sur ces sujets, je ne les comprend moi même pas.

La route est longue jusqu'a la fin,

Y a t'il une fin.


jOr je suis trop compliqué =] jOr même moi dans ces temps là je ne me comprend pas, je m'épparpille. HEIN !

Jérémie dit (23:38) :
Oui y m'as aussi dit que tu t'amuser a habiller les poubelle ^^
Мinipunk - black wish dit (23:39) :
solitude quand tu nous tiens


olol, et pourtant ! non je ne suis pas seul ! je ne mange pas avec les gens , mais des fois les gens mangent avec moi, ca évite des complications, et de cette manière, ca fait plaisir, sans avoir d'obligation.

Et tu cours, et tu marches sous la pluie. Parce que oui il pleut.

Et C'est Le Bordel !
ET PLEIN TOI !

ET ² TOI ! ET TOI AUSSI !

Stop les MAJ ! et écris un peu des choses censés au lieu de partir dans des trucs à la con : Death is the road to Awe - The Fountain
Renaitre un coup, vivre pour une éternité. Seul ou avec de l'espoir.

Je suis totalement désolé, ca se bouscule dans ma tête, plein de sentiment, plein de musique, plein de pensée, d'idées, de mot, d'Air , de souvenir, et tout ça, peut-être que ça n'éxiste pas.


jOr j'ai 10 mails . jOr le titre de l'article avant l'article !
jOr je dis jOr !
Mais phoque quoi .




je ne sais pas trop pourquoi tu es là toi .
tu as quelque chose que j'aime .
quelque chose de perdu .

mais en même temps ,

qui es-tu ?

que fais-tu ?

Je ne mentais pas quand nous avions discuté, avant tout !
les choses sont comme elles sont .

et l'on ni peut rien changer .


Edito : j'ai enlevé des liens. trop "explicite" Oo [ ] et l'article il bug trop :'(

Samedi 15 septembre 2007 à 2:26

c'est moi qui ai 14 ans [...]

Casper -

Hunting days are now a shame
To see somebody ambition to me
Roots your hair
Keep me on my mean star
There's a chance

Wait for a friend
They say are your feet
Far great to the bombs
No one and on my own
Dream away
Keep me on my mean stone
There's my chance

I hide away
Got the attitude
Host it on my back door

Got the attitude
Host it on my back door


Encore une fois je suis totalement maladroit, et trop de « blabla » fait dire des conneries. J'aurai pas du . sry
Je ne suis pas un philosophe, j'ai suxx aisaiment (au bac ?). Je voulais juste dire les choses du comment je les ressentais, je voulais pas te prendre la tête. J'aurai juste voulu réussir à être proche, sans que ca me fasse mal. Je réussi pas beaucoup dans les choses que j'entreprend. Je voudrai retrouver mon sourir passif.
Le con de cette chanson, il disait « There's my chance » , mais ² toi aussi !

Alors je n'arriverai jamais à être la personne simple que je voudrais être. Si tu penses que on peut se parler sans que je te fasse mal et sans que tu aies besoin d'une épaule pour t'appuyer ensuite. On se reparlera. sinon. bah .


Un jour peut etre tu me parleras sans tabou, et je n'apprendrai pas les choses via [...]
Un jour j'étais comme ca . Mini-puk ou l'inverse.

Il est tôt , tard, toujours dur de se coucher triste. vivement que tout s'arrête.








point

Dimanche 9 septembre 2007 à 14:40

Ils s'aimaient à l'arrière des taxis

- Maïakovsky -

Vous les avez connus ceux qui
Dans un élan de poésie
Mal contrôlé
A cent à l'heure sur les boulevards
Sur les banquettes de moleskine
En s'en remettant au hasard
Sans plus se soucier de Lénine

Elle tourne, elles tournent. Celles là, et la mienne. Encore une qui dégagent quelquechose. Les temps sont durent !
Les majuscules peuvent vouloir dire crier, mais elles ne pourront pas transmettre le crier de : tant que les heures passent .
Ils s'aimaient a l'arriere des taxis
Je [...] non rien . Ou tellement de chose.
Putaind'annéequinevapaspasserquejenetiendraipaspasavectoutesceschosesquidétruisentetredétruisentpasaveccepointquin'arriverapeutetre
jamaisetquimelaisseratoujourssipresmaistoujourspaslàoùjeveuxalleretpuisleschosesqueonnecontrolepaslespoirquirestemalgresquetout
devraitledétruirecommentcamarcheuncorpétrangéàsoncorp?
Tant que les heures passent !
« la même chose, avec du désespoir s'il vous plait =] »


Veuillez  rendre l'ame ...
(à qui elle appartient)


Je ne veux pas aller vers eux ! je ne veux pas reconstruire des choses qui se détruisent si facilement, je ne veux pas [...] ne peut-on compter que sur soit même ? ne peut t'on faire confiance aux  folies passagères ?
Partir vite, partir loin !
Toujours dans le même monde, qui change qui change.
Toujours au même endroit, tu changes tu changes.


Jamais la musique ne te laissera. Jamais tu ne seras seule si tu crois en elle!
Elle régis les sentiments. Elle décidera de qui tu étais demain.
Ton sourir n'est pas le tien, mais celui que ton coeur décide.

... logo Debian rouge sur fond noir ...


Oo !



O_x



:B



:!


Blaaaaaaaaaaaaaaaa!
On pourrait dire que tout est flou n'est ce pas ? Comprend qui pourra. C'est fou !
4 chansons qui te feraient accélerer toi aussi. Accélerer ton auto-destruction ? Ralentire en allant plus vite ta reconstruction ?

Alors des bouts de bout de part et d'autre, non adepte du copier coller, non adepte de mes propres p!x , je n'ai pas de quoi en prendre.
Seraient t'elles noires ? Seraient t'elles signe d'espoir ?

. Nous avons su monter nous avons su descendre, nous pouvons arrêter
et nous pouvons reprendre... »

[...]
 
Amnistie, amnistie ou alors amnésie, qu'est-ce que vous volez que ça foute,
de toutes façons il faut bien avancer, pressons le pas camarade
et puis réalisons réalisons, il en restera toujours quelque chose allez !
Matérialiste alors ça fait qu'au moins on est sûr de n'pas de tromper,
et du tangible alors jusqu'à l'indigestion, du rationnel alors
et jusqu'à en crever, des logiques implacables mais toujours pas de sens...
Eh princesse de l'Histoire dans sa marche forcée,
on finit par se perdre en passant sous tes arches multiséculaires.

[...]

Quelque chose est resté en travers de la gorge et nous voulons cracher
c'est la moindre des choses mais vous pouvez, madame,
vous adresser à nous car tout n'est pas perdu non tout n'est pas perdu
de vos mythes d'aurore ici le soleil brille pour tous et on y croit.
Tant que les heures passent !
« la même chose, avec du désespoir s'il vous plait =] »

_______________________________________________________________________________________

« Ami, qu'on crève d'une absence
Ou qu'on crève un abcès
C'est le poison qui coule »

Ce sont des mélanges, ce sont des bouts, ce sont peu être eux qui me correspondent le plus en ce moment.
Je ne suis pas sur de choisir.
Tu y rentre, il n'y a plus personne, tu sais que quoi que tu fasses, tu es seul .
Alors tu t' « éffondres » et tu regardes le temps qui passe.
Puis tu ne l'entends pas sonner, tu sais juste que maintenant il faut y aller, et tu y vas. pourquoi ?
Alors tu re-écoutes, tu refais ces choses que tu as déjà fait, contre lesquelles tu t'es déjà battu.
Et tu ressors, pour te trouver, là où tu connais les choses, mais qu'elle te semble tellement étrangère.
Alors tu t' « éffondres » et tu regardes le temps qui passe.
Solitude et musique, tu n'as pas envie de leur parler. Sauf à eux. 1,2,3,4
Sur les doigts, d'une main..
Tu dois manger, mais les minutes sont comptées, malgrès toi. Tu vas vite.
Alors tu t' « éffondres » et tu regardes le temps qui passe.
Et la suite à toujours un gout de déjà vu.
Quand cela semble être fini, tu n'es toujours pas chez  toi, toujours vers un quelque part. Ailleur .
Alors tu t' « éffondres » et tu regardes le temps qui passe.
Tant que les heures passent !
« la même chose, avec du désespoir s'il vous plait =] »

histoire d'une vie !

small time .
took her in, dropped a line ?

0upa.j'sais pas.j'need.
Et il faudra continuer le plus longtemps possible et autant que c'est possible. Can't understand. Can't believe it.
 Je. Ne cherches pas. Tu

Et Vladimir Maïakovsky, et leurs sourires à peine éteints, et les cent-vingt croix de leurs mains, leurs mains qui glissaient sur leurs skins, se perdaient sur la moleskine

.

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