Lundi 10 mars 2008 à 0:00

Il est l'heure ?



J'avais vraiment envie de commencer l'article comme ça.

Comme souvent les dimanches soirs où je peux me retrouver à mulhouse, je profite du début de la nuit pour m'adonner à l'écriture, au tapage sur clavier. Au commatage sur musique, et toujours au geekage afk devant écran avec fenêtres oranges qui clignote. Je suis là ou je ne suis pas là ?

Et puis j'ai eu une envie de re-écouter ces deux là. Parce que c'était quelque chose cette période, et que pouvoir avoir du temps comme celui que j'ai eu, je me rend compte quand je ne peux pas l'avoir, qu'il est précieux.

Je suxx aisaiment des articles en ce moment, je me rappel quand j'ai écris cet article sur « Universal Traveler » , sensation merveilleuse, sensation de calme et de pleinitude. Sensation de confort dans le surnaturel.
Je ne raconte plus vraiment ma vie dans mes articles, je raconte des bouts de pensées en vrac qui se mêlent les unes aux autres de façon désordonné et maladroite. Mais qu'est ce que j'y peux ? je suis peu être tout simplement désordonné et maladroit ? osef maladresse ?

Et si je racontais un peu ce que je pense? ce qui me tracasse en ce moment ? plutôt que de le laisser me ronger un peu plus mon moral voyant que l'échéance arrive et que elle me paralyse, putain de Bac de merde.
Ouai j'ai loupé mon Bac une fois, ouai j'ai bien l'impression que je suis useless et que je vais le louper une autre fois. Mais faut pas se laisser aller, la vie c'est pas toujours rose, et des vertes et des pas mures tu en verras encore beaucoup, alors fait attention à ton avenir et avance.
Je travail  [ MCD ]  . Et il est dur de changer de rythme de vie, de se lever et de se mettre à bosser, au lieu de laisser venir l'heure où tu dois partir, marcher, prendre le tram, marcher, se changer, et aller pointer. Mais je commence à m'y faire, je dois juste arriver à m'assoir sur cette chaise, et travailler comme j'avais réussi l'année dernière. Je me demande où j'avais réussi à trouver cette énergie pour aller à coté de l'eau, et enchainer les heures de travail. Surement que quand il fera de nouveau un peu plus chaud, mes heures de perms je les passerais là-bas. Quitte à rater les 15min si précieuses à mes yeux. Faudra bien que je me concentre sur ça.
Je le passerai même pas en terre connue, ça sera surement quelque part dans stras, perdu entre Tamanrasset et Vladivostok ? (avis aux connaisseurs)

Le temps de s'évader avec une autre image.


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« A thousand years, a thousand more, A thousand times a million doors to eternity. I may have lived a thousand lives, a thousand times. An endless turning stairway climbs. To a tower of souls. If it takes another thousand years, a thousand wars, The towers rise to numberless floors in space. I could shed another million tears, a million breaths, A million names but only one truth to face.
A million roads, a million fears. A million suns, ten million years of uncertainty. I could speak a million lies, a million songs, A million rights, a million wrongs in this balance of time. But if there was a single truth, a single light. A single thought, a singular touch of grace. Then following this single point , this single flame, The single haunted memory of your face. »

I still love you
I still want you
A thousand times the mysteries unfold themselves - Like galaxies in my head




« I may be numberless, I may be innocent. I may know many things, I may be ignorant. Or I could ride with kings and conquer many lands. Or win this world at cards and let it slip my hands. I could be cannon food, destroyed a thousand times. Reborn as fortunes child to judge anothers crimes. Or wear this pilgrims cloak, or be a common thief. Ive kept this single faith, I have but one belief »

I still love you
I still want you
A thousand times the mysteries unfold themselves - Like galaxies in my head


Je n'ai pas l'occasion de découvrir de nouvelles chansons en ce moment, popod est je ne sais où, entre un service après vente qui attends un devis que je désespère de voir arriver un jour. Arf ! Je survis avec des musiques que j'ai déjà aimé une fois, et que je ré-écoute en boucle selon mes humeurs. Heureusement il y à toi [...] pour me faire redécouvrir des chansons que j'ai du surement écouter une fois aux hasards des ruelles, et que je retrouve par ton pp3. Archos et popod ont du se faire la male à deux et se sont cachés dans les recoins d'un carton du SAV.
Sting j'avais écouté, (fred à toute la discographie, j'avais tout pris), je me rappel avoir fait une disserte en l'écoutant l'année dernière. Viré en cours de philo, balancer dans une salle pendant 2heures, un sujet comme seul compagnie.
L'année dernière. Des choses que ont oubliera pas, des choses qui seront peu être oublié, je garde quand même un immense sentiment de colère , ou frustration, appelez ça comme vous voulez, mais pas normal quoi. Je me demande pourquoi j'en suis encore là, on ne devrait stresser pour le Bac que une seule fois dans sa vie ! La logique pas respectée, le sentiment d'avoir fait le maximum, et de pas être celui qui peut faire quelque chose. Uh

Et qu'est ce qui me perds ? une passion pour ce dont je suis devant. Une passion pour l'envie de pouvoir flâner sans avoir de compte à rendre à personne. Certains ont rien foutu, et tout leur tombe pif paf (expression du moment) dans les mains, certains triment et s'en prennent encore dans la gueule. Je dis pas que je suis le malchanceux de dingue, [ du bonheur dans mon malheur ], mais c'est rageant, et des fois désespérant.

Il y a toujours ces différents 3 points in da life, ceux qui vont bien, et celui que je dois prendre en main. Ca ne concerne que moi, il n'y a que moi qui pourra faire quelque chose. On verra [ oui, tellement tout à écrire ] .






Est ce que j'en avais oublié ce dont pourquoi j'aime ce "blog" ?
Ici mes pensées sont exprimées en toute liberté. Je n'ai pas parlé de ce qui ne concerne que toi et moi, ce que tu sais et que je sais, ce que j'espère ne pas avoir à te prouver, ce dont tu n'as pas besoin de me prouver, ce dont je respire à chaque instant, ce dont je rêve à chaque moment, ce qui fait que nous nous complétons même dans nos moments les plus troublés. Cette sensation où se mêle maths et poésie : chuchottage x3 = 1758. Alors même si c'est écris ici.
Rendez-vous sur des escaliers.







Un seul mot pour toutes ces images.











à relire 3x

Jeudi 6 mars 2008 à 21:35

Pourquoi chaque musiques me font penser à toi? Pourquoi elles parlent toutes d'amour? C'est moche l'amour et c'est nul.Enfin non.C'est moi qui suis low.Mais toi aussi! Toi aussi...Mouarf 5 jours à présent.On verra, ma phrase préférée.la plus fuyante qu'on puisse trouver.Parce que ça ne bougera pas d'un poil cette situation.Jusqu'à ce que quelqu'un de ton ou mon côté arrive.Et ce sera alors un grand regret et non plus un espoir.Mon discours est bien fataliste mais c'est ça.In the cold light of morning ne sera plus qu'un lointain souvenir.Lundi prochain [ARF] je te donnerais mon semblant de lettre.Tu sais quand même y répondre par 7 pages alors! Enfin.Je n'ai plus (si ça se trouve je l'ai jamais eu ) la force de faire quoi que ce soit! J'arrive pas à dire, ni à te serrer, ni à [*].Mais à quoi bon? J'aimerais arriver à dire tant pis- sometimes goodbye is the only way- AAAh mais non.C'est le contraire de trop tôt et pourtant je ne veux pas penser à la réalité.J'ai pas l'impression que ça soit la réalité.C'est comme si on pensait la même chose avec nos rêves et qu'en réalité.
Je gâche tout =D.Je dois vraiment aimé être le bourreau.Et Clara qui me dit encore "Tu en a brisé des cœurs cette année.".Comme si je faisais exprès NIARK je play with you but it's not a play for me.Or...I don't knooow.
F'OFF.Ma-r3ine me comprends mais malheureusement je n'arrive pas à aller vers toi.Dans le sens qu'il faudrait.Peut-être trop de choses.Pf c'est pitoyable.Je suis pitoyable.Et je dis que tu es pitoyable pour aussi me rassurer.Que je ne sois as toute seule dans le trou de ma cruauté.Que j'enterre quand même une partie de toi avec moi.Tu es tellement.

JE HAITMES

Jeudi 6 mars 2008 à 21:24

Je continues cette lettre.Ou plutôt ces écrits. Qu'est-ce que ça fait mal, ce que j'haimes.Toi, toi, toi,toi,toi,toi,toi,toi,toi.
Même quand j'écris ton nom. Paul-Emmanuel Sébastien Colard.
Et tu m'énerves.Je voudrais tant te jeter mon cœur à la figure est bien une réalité. J'écris, écrire pour faire passer ce mal. MAL DE TOI ! Et ma figure ne coule pas, j'ai mal, je dois faire de la rétention d'eau. Mal au cœur, mal partout. Mais qu'est-ce que tu dois morfler putain! Je dois être folle de te cacher mes sentiments, tout pourrait être simple.Mais j'aime le compliqué et une L fait tout pour contredire le S. Toi c'est sourire.Les autres c'est "salut ça va ?" "ouais, ouais". Juste Stef et Guillaume sont là pour écouter.Pour essayer de comprendre mais surtout need serrer fort quelqu'un.
Pour te remplacer?
Pf depuis que tu t'éloignes, j'ai l'impression de me vider, de me noyer.Ces musiques sont une prison, ej grimace, je n'arrive pas à pleurer. Tu sais, je crois que je ne dais plus tenir longtemps comme ça.A peine une musique triste et c'est la dégringolade.
Mais le pire c'est quand je te vois, si grand, si loin.Run away, i know.But NO, i would like to speak with you. To say "stay".
Je pleure de l'intérieur, je me sens coupable, par mon propre égoïsme je nous enferme tous les deux dans une couronne d'épine.Aïe.
Et qu'est-ce que ton regard change, Merde. Même si en fin de compte ma douleur aime te voir sombre et souffrant.J'ai toujours eu une part de sadique en moi, mais un jour tu me remercieras.Ça y est je sais que j'ai de la démence. Démence de toi? Putain, et c'est moi qui devient V. F"off cette phrase, ces phrases résonnent dans ma tête comme des ricochets sans fin.
Ma dernière lettre se doit d'être belle, peut-être insuffisante pour que tu puisse avoir envie d'y répondre.ce qui va être le plus dur est de ne pas te faire sentir l'idée de sacrifice. Mais merde, je suis vraiment machiavélique.
Jusqu'où l'amour peut-il mener.Cette phrase est inventée par ma douleur : l'Amour a ses misères que la Raison connaît par cœur.Qu'en dis-tu?
"Putain, Marie", "Mais tu sais pas ce que ça me fait!", "go me barrer".Il ne faut pas m'appeler par mon prénom au risque de me voir craquer.ce son de ta voix était comme Guts lorsqu'il est sympa, puis tellement touché. Et 2minutes après tu reviens avec ton "amuses-toi bien", dur, sombre,trAf.AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh mais j'ai envie de crier.
Quand ton hope s'éteindra ce que je veux non? Non ce que je dois faire. Qui mon coeur remplacera? Qui me consoleras de ta perte? Et même si en L, je reprends des termes du livre "le Jeu de l'Amour et du Hasard", FUCk. Je t'haimes, je te hais, je voudrais te revoir, car le sang appelle le sang.Tout passe mais trop vite et pas assez rapidement.Jamais contente! Caprices& doutes, certitudes & et envie de te cracher à la figure, j'haimes ton odeur ça peut paraître animal mais au fond nous sommes tous des bêtes.
J'ai quelquechose qui cloche dans ma tête, alouette.
J'ai peur que mon sourire d'afface à jamais.

 Je semiah't

Jeudi 6 mars 2008 à 21:02

La plus belle phrase qui existe, c'est bien :





ILLUMINEED

Jeudi 6 mars 2008 à 21:01

Je noie mon chagrin dans l'asphalte. Mon vernis n'est pas sec et les pubs, mensongères. Je ne suis plus qu'une ombre d'une vie de manque, d'UN manque. C'est moche et cruel l'amour, surtout quand on a 16 ans.
Et lorsque j'ai envie de pleurer...Ça ne vient pas. ces putains de larmes ne coulent pas, ma figure coule.
Ombres chinoises dans un arrière fond multicolore. Mais s'il n'y avait que du noir dans cette vie, on serait heureux.Et puis merde, quoi. Je n'aime pas le bonheur, parce que je n'ai pas la vision universelle du bonheur.Peut-être que si, peut-être que ça.Pluie sans qu'il pleuve, "sur la Terre comme au Ciel".Sa mère la pute. Et Marie, la vierge, fruit des entrailles de Dieu.
C'est dur, et ça fait mal.Mon dieu, que ce plaisir fait mal. Crucifiée sur une rose rouge ou blanche, quelle différence? Il pleut, ça coule sur ma figure. Soupirs retentissants et cri intérieur.Ce n'est plus un cri, mais de la douleur, mal de vivre, mal de toi.Envie de le crier sur les toits. Etranglements souhaités, à vos souhaits.
J'ai pas de corde, j'ai pas la force. Je ne suis au fond qu'une spectatrice qui attend désespérément que l'acteur lui fasse signe. On a loupé le coche, je suis partie de la scène, sans regrets.Ou presque.
Je me sacrifies parce que la phrase des amoureux, c'est bien "Je ne veux que ton bonheur".Et si l'on échangeait le "que" par "pas", pourrait-on changer le monde?
J'ai mal aux hanches, mal à la tête, mal au cœur, et mal de toi.
J'éspères qu'un jour tu m'étrangleras et me cracheras à la figure.

Je t'haimes.

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