Je n'ai rien à te dire. Tu me fais peur.
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B
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n
s
o
i
r
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o
n
s
o
i
r
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Je crois que je ne suis pas très actif. Mais pour tout dire, j'ai perdu l'envie de l'ordi. Et puis même à mulhouse, j'ai perdu l'envie de beaucoup de chose.
Peu être que j'ai quand même l'envie de te croiser dans la rue :]
Mais bon, autant l'internat c'est soulant. On me supprime tout ce qui pourrait me laisser un sourir.
Mais en ce moment j'ai tout les soirs un sourir sur les lèvres. Merci .
Pour ne pas être oublié, je voulais pas re-écrire d'article avant d'avoir de nouveau mon ordi, mais comme il semblerait que il ne revienne pas de si tot. Je suis bien contraint a prendre une photo comme celle là. Et d'écrire comme cela.
Flou Flou Flou
Je pourrai pas vous dire les musiques qui me font vibrer en ce moment, j'avouerai qu'il y en a vraiment pas mal, et je vous les ferais écouter volontier, il suffit de venir me voir, et de me dire, "tu écoutes quoi ?" , "je peux écouter?" A ce moment je vous regarderais avec des grands yeux, et si je suis pas trop accroché à la chanson du moment, je vous passerai rapidement, les meilleures chansons de la semaine. Celon que vous soyiez, plutot adepte des chansons calmes et super belle, ou de celles qui vous prennent au coeur et qui vous retourne dans tout les sens, pourquoi pas encore écouter celle qui vous donne simplement le sourire.
Et si je vous aimes bien, et que je suis d'humeure à faire la révolution, je vous prête mon casque, je vous mets mon popod dans les mains, et je vous dis : "va s'y; découvre". Vous êtes tentez ?
Et si je vous aimes bien, et que je suis d'humeure à faire la révolution, je vous prête mon casque, je vous mets mon popod dans les mains, et je vous dis : "va s'y; découvre". Vous êtes tentez ?
Je laisse ici mon vendredi soir, qui j'espère ne sera pas , comme je ne veux pas qu'il soit.
Je vais aller travailler.
Je pense...
Q ue on peu être anti-social un vendredi soir.
Que les vaches lesbiennes éxistent, et que elles peuvent donner de l'affection.
Que n'empèche, c'était un truc de fou. Et puis non je suis pas chatouilleu. Tu perdais toujours. Tu gagnais jamais.
Que les radiateurs humain ca éxiste aussi, et ca fait reelement du bien.
Que ca fait beaucoup de même début de phrase.
Puta, j'aime écrire, et alors ?
« Noir les horreures » [×] « Tant qu'il y à du noir, il y a de l'espoir »
tu perdra jamais la main.